17/09/2024
Alors que la société OpenAI refuse de rendre compte de l’utilisation qu’elle fait des données – y compris les œuvres et prestations protégées par le droit d’auteur et les droits voisins – avec lesquelles elle alimente sa plateforme d’IA ChatGPT (voir, par exemple, ici), l’association faîtière européenne des organismes de gestion collective des droits voisins des artistes-interprètes AEPO-ARTIS (à laquelle appartient également la société de gestion belge PlayRight) a posé la question à ChatGPT elle-même : les artistes devraient-ils être rémunérés pour l’utilisation de leurs œuvres par les développeurs d’IA ? Vous pouvez lire la réponse carrément hilarante dans ce post LinkedIn de Ioan Kaes, Secrétaire Général d’AEPO-ARTIS. Computer says ‘yes’!